L’écologisme n’est pas la solution, c’est le problème.
Phase
1 :
La planète est en danger. La couche d’ozone s’agrandissait, les ouragans
ravagent les côtes US, il fait plus chaud. Les vaches et les usines dégagent
trop de méthane. La glace fond. La mer monte. C’est la messe médiatique
quotidienne diffusée par nos quelques 400 chaînes (qui portent bien leur
nom !) ou des « spécialistes » succèdent à des
« reconstitutions » plus vraies que vraies de ce que sera …. Notre
demain catastrophique, forcément catastrophique.
Phase
2 :
tout cela est possible parce que l’homme (avec un grand H) a dépassé la nature.
Hier en « harmonie » avec elle (il faut ne pas connaitre la nature
pour rêver à une harmonie homme /nature …. Naturelle), il est devenu son pire
ennemi (donc ennemi de lui-même !). La technique lui a fourni les moyens
pour arracher à la terre de quoi fondre les métaux, faire de l’électricité et
des moteurs à explosion ……
Phase
3 :
danger + homme ignorant de sa puissance (ou conscient de ses intérêts égoïstes)
= nécessité d’une grande rééducation par l’écologie politique :
l’écologisme.
L’écologie :
Science qui
étudie les relations entre les êtres vivants (humains, animaux, végétaux) et le
milieu organique ou inorganique dans lequel ils vivent, ne sert, dans le
discours de l’écologisme, que de cache sexe.
L’écologisme et à l’écologie, ce
que l’astrologie est à l’astronomie.
Donc
ne pas confondre écologue et écologiste ! Science et baratin.
Prenons un exemple pour
démasquer la méthode :
Déclencher la peur –> fournir des « preuves » -> justifier des
mesures politiques et économiques (extraits Mediapart 10/01/2016):
« Le réchauffement climatique anthropique. »
En
1979,
à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la
crainte dans ces années-là était celle d'un refroidissement planétaire, est
déclaré que le dioxyde de carbone(CO2) émis par les activités humaines pourrait
réchauffer la planète et avoir de graves conséquences. Très opportuniste,
Margaret Thatcher s'empare de cette
pensée nouvelle pour faire la promotion de l'énergie nucléaire. La France déjà
très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques
Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors
des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique.
Et le GIEC (Groupe
Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) va naître en novembre
1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique
anthropique. Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
En 2006, dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines. Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d'apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international.
Mais cette courbe était fausse ! (et ce n'était pas la seule erreur). Elle avait été sciemment falsifiée. Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC. Mais non, le GIEC admit son «erreur», la courbe disparut du rapport suivant et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !!
2009, peu avant le sommet de Copenhague, la « Climategate », autre affaire très grave. Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC. Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC. On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ».
Pourtant
il faut qu’il fasse de plus en plus chaud ….. une histoire de
« hiatus » : Depuis le début du XXIème
siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC
emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauffement durant la période
1970-1998 était d'environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce
taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un
des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC).
Des records de température sont toujours observés, ce qui n'est pas en
contradiction avec l'ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire. Le
matraquage permanent des médias autour de ce « global warming »
anthropique sert à tout justifier : une inondation inédite,
une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en
sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des
truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre,
vivrions-nous les débuts de l'apocalypse ! Tout est pain béni pour servir
ce dogme.
Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L'enjeu climatique oppose l'industrie pétrolière et l'industrie nucléaire. S'y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l'émergence économique des nouvelles puissances.
Mais ce n’est pas tout,
une nouvelle économie repeinte en vert
se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC.
Les cabinets et consultants sur « l'empreinte carbone » prospèrent.
La vente des voitures électriques espère décoller.
De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création.
Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes !
Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l'ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l'air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l'appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, ...Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution)
Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !
« Supposons que
nous produisions comme des êtres humains: chacun de nous s’affirmerait
doublement dans sa production, soi-même et l’autre. 1°) Dans ma production, je
réaliserais mon individualité, ma particularité; j’éprouverais, en travaillant,
la jouissance d’une manifestation individuelle de ma vie et, dans la
contemplation de l’objet, j’aurais la joie individuelle de reconnaître ma
personnalité comme une puissance réelle, concrètement saisissable et échappant
à tout doute. 2°) Dans ta jouissance ou ton emploi de mon produit, j’aurais la
joie spirituelle immédiate de satisfaire par mon travail un besoin humain, de
réaliser la nature humaine et de fournir au besoin d’un autre l’objet de sa
nécessité. 3°) J’aurais conscience de servir de médiateur entre toi et le genre
humain, d’être reconnu et ressenti par toi comme un complément à ton propre
être et comme une partie nécessaire de toi-même, d’être accepté dans ton esprit
comme ton amour. 4°) J’aurais, dans mes manifestations individuelles, la joie
de créer la manifestation de ta vie, c’est-à-dire de réaliser et d’affirmer
dans mon activité individuelle ma vraie nature, ma sociabilité humaine. Nos
productions seraient autant de miroirs où nos êtres rayonneraient l’un vers
l’autre » K.
Marx Manuscrits de 1844.
Liste de scientifiques
sceptiques sur le réchauffement climatique : liste les scientifiques à travers le monde qui
sont climatosceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un
réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il
ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de
nombreux prix, auteurs d'articles majeurs. https://www.wikiberal.org/wiki/Liste_de_scientifiques_sceptiques_sur_le_r%C3%A9chauffement_climatique
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