Les règles sont-elles sources de liberté ?
-pourquoi il y aurait déterminisme à vivre en société
-pourquoi a-t-on donné naissance
à des lois, à des règles qui découlent de ses lois
L’homme animal fragile dans son environnement, sa survie passe par le groupe, on se défend ensemble contre le danger…etc.
La survie passe par le groupe, car a plusieurs, on est plus fort physiquement, mais on est plus fort aussi parce que on a plus d’idées
-parce que l’autre sait faire des choses que je ne sais pas faire
-parce que je sais faire des choses que l’autre ne sait pas faire
L’homme animal fragile dans son environnement, sa survie passe par le groupe, on se défend ensemble contre le danger…etc.
La survie passe par le groupe, car a plusieurs, on est plus fort physiquement, mais on est plus fort aussi parce que on a plus d’idées
-parce que l’autre sait faire des choses que je ne sais pas faire
-parce que je sais faire des choses que l’autre ne sait pas faire
Donc par le groupe on améliore
notre condition de vie on augmente notre chance « à vivre » Et à quoi sert la liberté quand on
est tout seul s’il on ne peut pas la vivre ou très peu -mais le groupe peut
m’empêcher aussi de faire complètement ce que je veux, je n’ai pas une liberté
totale
Deux choix s’offrent alors à l’individu :
Deux choix s’offrent alors à l’individu :
Premier choix :
Je sors du groupe et je prends des risques considérables, très peu de chances de survie (dangers physiques, folie) mais je fais ce que je veux (mais certainement pas tout ce que je pourrais faire ou je suis capable de faire), je n’ai de règle que celles que je me fixe à l’intérieur, dans le cadre de celles pour laquelle je suis née, je suis donc très libre dans l’immédiat
Je sors du groupe et je prends des risques considérables, très peu de chances de survie (dangers physiques, folie) mais je fais ce que je veux (mais certainement pas tout ce que je pourrais faire ou je suis capable de faire), je n’ai de règle que celles que je me fixe à l’intérieur, dans le cadre de celles pour laquelle je suis née, je suis donc très libre dans l’immédiat
Deuxième choix
Je reste dans le groupe, j’ai beaucoup plus de chance de survie, grâce au groupe, aux règles du groupe(l’identifiant du groupe),mais je suis moins libre de faire ce que je veux, mais j’ai moins de contraintes, donc plus de liberté pour faire ce que je peux car l’autre m’aide à faire ce dont je suis capable(la transmission ,le transfert)
Je reste dans le groupe, j’ai beaucoup plus de chance de survie, grâce au groupe, aux règles du groupe(l’identifiant du groupe),mais je suis moins libre de faire ce que je veux, mais j’ai moins de contraintes, donc plus de liberté pour faire ce que je peux car l’autre m’aide à faire ce dont je suis capable(la transmission ,le transfert)
Exemple : l’autre m’apprend une
autre langue qui va me permettre de me déplacer plus librement dans un autre
pays, je pourrais lire des panneaux…
Globalement malgré des contraintes je suis plus gagnant dans ma capacité à être libre que si je suis seul, je perds quelques libertés mais j’en acquiers beaucoup plus en groupe
Globalement malgré des contraintes je suis plus gagnant dans ma capacité à être libre que si je suis seul, je perds quelques libertés mais j’en acquiers beaucoup plus en groupe
La liberté totale sans règle :
Je peux faire ce que je peux, ce que je veux, comme je veux, quand je veux, je suis libre d’agir à ma guise, sans contrainte, sans tenir compte de l’autre
Je peux faire ce que je peux, ce que je veux, comme je veux, quand je veux, je suis libre d’agir à ma guise, sans contrainte, sans tenir compte de l’autre
La loi « totale », le régime autoritaire, le « vous devez être
»impose :
-à l’extrême je ne peux rien faire, je n’ai pas le droit d’être en tant qu’individu, je n’existe pas en tant que tel, en tant qu’unique
-le « je suis » doit s’inscrire dans la loi, la loi identifiant du groupe le « nous sommes »
-le « je suis »s’inscrit dans le « nous sommes »
-le « je suis » doit s’inscrire dans le « nous sommes »en totalité
-le « je suis » n’a pas le droit d’exister, de s’exprimer, d’être
-pourquoi la liberté totale n’est pas la solution
-pourquoi la « loi totale », le totalitarisme n’est pas la solution
-à l’extrême je ne peux rien faire, je n’ai pas le droit d’être en tant qu’individu, je n’existe pas en tant que tel, en tant qu’unique
-le « je suis » doit s’inscrire dans la loi, la loi identifiant du groupe le « nous sommes »
-le « je suis »s’inscrit dans le « nous sommes »
-le « je suis » doit s’inscrire dans le « nous sommes »en totalité
-le « je suis » n’a pas le droit d’exister, de s’exprimer, d’être
-pourquoi la liberté totale n’est pas la solution
-pourquoi la « loi totale », le totalitarisme n’est pas la solution
A l’intérieur du déterminisme
pour lequel on vit : aller d’un point A à un point B nous avons donne naissance
à direction commune, la loi commune, le « nous sommes », une intersection de
valeurs plus ou moins acceptées ou choisi (démocratie)
Mais nous avons aussi un « je
suis » qui ne s’inscrit pas dans la règle commune, le nous sommes, ce « je suis
»est notre identité propre, notre particularisme, ce qui nous différencie des
autres, aucun être humain est complètement identique à un autre
-ce « je suis »qui ne peut vivre
seul(un déterminisme à vivre en société est inscrit en lui, ancrée, innée en
lui)existe par le miroir qu’est l’autre, « on ne peut exister si l’autre nous
le dis pas »,ce « je suis » veux influer le plus possible sur la direction pour
aller au point B. Autrement dit, » je suis » implique « je sais » implique »
j’existe », donc je me prend un petit peu pour dieu, mais je sais que je ne
suis pas complètement dieu, mais je voudrais l’être(déterminisme innée en
nous)et pour le devenir un peu plus, j’ai besoin de la particularité de
l’autre, sa différence(si je vis en société, si je dois vivre en société, c’est
parce que j’ai besoin de l’autre, ce n’est pas sans intérêt, ce n’est pas un
acte gratuit si je vis en société)
J’ai besoin de l’autre pour me
dire ou savoir que j’existe, mais j’ai aussi besoin de l’autre pour qu’il
m’apporte sa différence pour exister encore plus car je sais que je n’existe
pas totalement et vice versa pour l’autre
Pour que l’autre et moi puissions exprimer le « je suis » qui ’inscrira par le transfert dans le « nous sommes », il faut des règles qui me préserve de l’autre, qui préserve l’autre de moi et qui permettent aux « je suis « de s’exprimer
Sans règle chacun essaierai d’imposer son » je suis », ce qui nuirait à l’objectif final, le déterminisme que l’on a dés qu’on née
Pour que l’autre et moi puissions exprimer le « je suis » qui ’inscrira par le transfert dans le « nous sommes », il faut des règles qui me préserve de l’autre, qui préserve l’autre de moi et qui permettent aux « je suis « de s’exprimer
Sans règle chacun essaierai d’imposer son » je suis », ce qui nuirait à l’objectif final, le déterminisme que l’on a dés qu’on née
Entre ces 2 extrêmes ,liberté
totale et totalitarisme, blanc ou noir existe toute une palette de gris, un
mélange de liberté individuelle et de règle commune qui en fait permettent dans
le temps d’atteindre plus de liberté, cette nécessite pourrait avoir donné
naissance à :
Art. 4 : La liberté consiste à
pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits
naturels de chaque homme n’a de borne que celles qui assurent aux autres
Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent
être déterminées que par la Loi.
Art. 5 : La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la
Société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul
ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789
Conclusion : les règles sont
sources de liberté.
Si l’on postule que, la liberté
totale, l’absolue est notre déterminisme, que l’on vie ou existe pour ce but,
alors notre liberté passe par celle des autres ce qui implique l’émergence de
lois et de règles
On pourrait dire alors que :
La liberté c’est vouloir se fixer des règles dans la liberté que nous permet le déterminisme pour lequel on est néé, alors ces règles sont intégrés en nous et génère un « nous sommes » un identifiant commun qui nous approche du but pour lequel on est née (on pourrait peut être voir dans ce raisonnement l’origine de la démocratie)
La liberté c’est vouloir se fixer des règles dans la liberté que nous permet le déterminisme pour lequel on est néé, alors ces règles sont intégrés en nous et génère un « nous sommes » un identifiant commun qui nous approche du but pour lequel on est née (on pourrait peut être voir dans ce raisonnement l’origine de la démocratie)
La seule loi qui s’impose à nous
à notre naissance serait la recherche de liberte, ca serait la loi qui nous
détermine
Citations :
-l’homme est condamnée à être libre(Sartre)
-la seule chose dont on n’est pas libre c’est de renoncer à notre liberté(SARTRE)
-l’homme est condamnée à être libre(Sartre)
-la seule chose dont on n’est pas libre c’est de renoncer à notre liberté(SARTRE)
-l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté (JEAN JACQUES ROUSSEAU 1712-1778)
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